valses entrecoupées de miroirs avec qui danse-t-on vraiment avec le vent en soi le mouvement est-il nôtre est-il une volonté parmi le hasard; ma robe sa mélodie de tulle froissée effleurée sans mains sous l'échine quand je tombe l'univers bouge-t-il
17 déc. 2009
Aux rhétoriciens à qui le miroir appartient la venue des christs éclatants leurs mains, langues aux morsures de diamant affairées dans l’espace, pointues, acérées constellations épineuses qui donneraient à voir dans leur passage sur la surface indicible du ciel renversé rien ce qui se cache derrière les limites en dehors des rêves les éclats de réel recollés avec un peu de sang de farine de ciment pour le beau le ciel handicapé le poème le vide