Carnet

CARNETS | marie deschênes

23 mai 2008

ce geste presque rien
sa main devenue forte et calme
ma taille soudain souple, offerte
puis rien, rien sa silhouette
disparaissant dans la pénombre
et la porte qui se ferme

et ce geste toute la nuit
presque rien
qui se déploie

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